bonjour docteur,
un témoignage concernant la dernière hospitalisation que maman a subit.
en effet maman à bien faillit mourir car il y a quelques semaines elle a fait un malaise à cause d'un médicament elle fut donc hospitalisée dans le nouveau service specialisé pour les malades d'alzheimer que son médecin neurologue gériate était trés satisfaite de nous présenter car prométeur de meilleurs soins .
maman avec un changement de traitement fut vite rétablit mais le médecin nous indique qu'elle va la garder pour lui faire reprendre des forces et pour dit elle : "que papa se repose un peut".
maman en plus de la maladie est grabataire, incontinente totale et obèse et son état de santé réclame donc des soins particuliers , notament au niveau de l'alimentation et de l'hydratation agravé par un problème de micose qui est presque résolut aujourd'hui, car elle ne peut plus rien faire seule.
trés vite les infirmières prennent concience du problème et solicite papa pour qu'il s'occupe de ça régulièrement.
bien sûr malgrés ses régulières visites ce n'était pas possible habitant à 40km de l'hôpital et vous avourez qu'en guise de repos ce n'était pas l'idéal.
en fin de semaine c'était un samedi papa reçoit un coup de téléphone de l'hôpital car maman refait un malaise il est difficile de la perfuser nous dit on et que l'interne pense qu'il faut qu'il vienne au plus vite.
craignant le pire nous partons ensemble, arrivé sur place une infirmière nous accueil et nous explique que arrivé à ce stade de la maladie il on fait le maximun que sa poche d'urine hyper chargé témoigne de son état de santé grave et qu'il ni à plus qu'à attendre ce chargeant de faire en sorte qu'elle de souffre pas.
le discourt type que l'on adresse à la famille d'une personne qui est sur le point de mourir ce que je me fait confirmer par l'infirmière.
nous sommes bien sûr effondrés et nous passons le dimanche à prévenir toute la famille que la fin est proche.
le lundi papa retourne à l'hôpital abbatu pour rendre visite à maman et là il s'aperçoi que maman va mieux et quelle est perfusée.
le médecin de retour du week-end lui explique que c'était une erreur qu'en fait elle était trés déshydratée et qu'elle pourra rentrer à la fin de la semaine en disant qu'elle sera bien mieux à la maison!!!!!!!
aucune excuses n'ont été faites et la semaine c'est écoulée comme ça à coup de mauvais soins, les infirmières martelant qu'il fallait qu'elle boive en posant son verre sur la table qui restait inexorablement plein sauf quand papa était là puisqu'elle ne pouvait pas boire seule.
en fin de semaine elle fut ramenée à la maison par l'ambulance innondée d'urine et d'excréments dans sa couche, la bouche et la gorge barbouillés de nouriture séchée!!
dernière humiliation avant son retour à la maison d'un sercice spécialisé dans la maladie d'alzheimer!!
lorque le pôle automie nous demande mais pouquoi ne l'avez vous pas encore placée?
je cois que outre le problème financier il n'y pas besoin d'autres explications car même si parfois le passage à l'hôpital est inévitable, lorsqu'on est atachés à sont conjoint depuis autant d'année et qu'on voit la facçon dont elle traitée on ne peut pas avoir confiance.
il faut donc malgré les difficultées et la fatigue que ça engendre, avoir recour au maintient à domocile et c'est là que nous avons des problèmes avec la SSIAD.
il faut reconnaitre que papa a à coeur que maman soit le mieux traitée possible et qu'il ne supporte pas que certains soins ou toilettes soient mal fais.
ce qui a d"ailleur déjà pu provoquer certaine infections( constatée par le médecin généraliste)
papa n'est pas homme à fermer les yeux sur ces problèmes et le fait remarquer régulièrement aux personnels soigant à domicile ce qui lui vaut je pense "des represailles"
en effet dernièrement l'infirmière coordinatrice à téléphonné à papa pour lui demandé si il était disposé aider à pratiquer des soins avec une des intervenantes le samedi et le dimanche car dorénavent elle viendrais toujours seule.
papa indique que ce b'est pas son travail( personnelleement je pense que papa ayant 74 ans , une prothèse au genoux n'a pas non plus la force de faire ça),alors l'infirmière indique que puisque c'est ainsi elle viendrait quand elle pourra seulement même si c'est en fin d'aprés midi laissant maman avec une couche sale du matin.
voilà docteur le problème que peuvent rencontrer des aidants prisonnier entre le choix d'avoir recour au plaçement en sachant qu'il faudrait fermer les yeux sur certaines choses et que c'est un accélérateur de mort et le fait de garder à domicile en ayant à ce battre avec des administrations pour obtenir des aides efficaces et humaines.
étant à la merci de certain service pubique car unique dans la région et le sachant elle n'ésite pas parfois à nous menacer d'abandon afin de nous faire fermer les yeux sur certaines incompétences.